MONTRÉAL. L’ex-entraîneur du Canadien de Montréal et sénateur Jacques Demers a pris du mieux au point où il tend la main et salue les gens et se montre même charmeur. Mais il est encore trop tôt pour dire s’il gardera des séquelles de l’AVC qu’il a subi.
Deux neurologues de l’Hôpital neurologique, rattaché au Centre universitaire de santé McGill ont rencontré la presse, vendredi à Montréal, pour faire le point sur l’état de santé du célèbre patient qu’elles ont traité depuis son accident vasculaire cérébral.
La docteure Angela Genge a précisé que M. Demers prend du mieux chaque jour. Il mange depuis lundi et est prêt pour un processus de réadaptation plus avancé, a-t-elle noté.
Il lui reste cependant une faiblesse du côté droit, de même que quelques difficultés avec la parole, a noté de son côté la docteure Jeanne Teitlebaum.
La réadaptation plus poussée qu’il entreprendra durera au moins trois mois en centre spécialisé, mais les progrès continueront de s’accumuler après cette période durant un an, voire davantage, ont noté les deux neurologues. Mais il est impossible de dire aujourd’hui s’il gardera des séquelles de cet AVC.
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Lia Lévesque, La Presse Canadienne